• Bonjour aux rares personnes qui me lisent ici!

    Tout d'abord vous avez bien du remarquer que je poste beaucoup moins mes textes. C'est tout simplement que j'en écris moins, car d'autres écrits prennent une nouvelle place beaucoup plus importante. Je viens donc vous rappeler que je suis chroniqueuse Metal pour le webzine Nightfall In Metal Earth, que vous pouvez visiter en cliquant sur le lien.  
    Ensuite, je viens vous parler d'un nouveau projet que j'ai avec un ami, qui est encore loin d'être abouti, mais petit à petit les idées germent et on espère sortir à deux une nouvelle ou un petit roman avec cette idée. Je vous mets ici le résumé qu'il en a fait.

    Que diriez-vous si un jour en vous levant, vous n’aviez plus de couleurs qui dansent sur vos rétines ? Alors peut-être comprendrez-vous que ce monde ne fait sens que par les couleurs et que si ces dernières venaient à s’éclipser, votre perception des choses n’en serait que confusément altérée. De même qu’une couleur, si elle est esseulée, ne suffit pas à la compréhension générale de ce qui nous entoure. C’est l’ensemble des couleurs, vecteur d’une uniformité authentique, qui fait sens et nous permet de vivre en harmonie. Mais les questions restent entières : peut-on vivre sans couleur ? Peut-on les isoler une par une pour analyser plus en profondeur les méandres de l’existence humaine ? Peut-on bousculer nos habitudes et réécrire notre façon d’appréhender notre perception du monde ?
     

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  • Varúð

     

    Comme si tout était si facile. Il suffirait de se laisser porter par la vie, faire de ses journées un cycle assommant, où l'ennui serait maître. Il suffirait de ne pas y penser, laisser le temps prendre l'avantage sur tout, le laisser rythmer chaque instant, envahir nos pensées, si bien qu'on ne se douterait même plus de sa présence. Une éternité de silence. Un monde en noir et blanc, vêtu d'un flou unique de nuances cendrées. Et pourtant.
    Ça n'a jamais été possible. Quand bien même les couleurs seraient absentes, ces teintes grises doivent éblouir d'un parfum de langueur. Un regard par la fenêtre et les lignes de gouttes collées à la vitre deviennent un rideau de perles nacrées. Un visage forme le plus ardent des regards. L'effleurement reflète un frisson. Il faut alors imaginer une vie secouée de séduisants vertiges, où on se laisserait avoir par cet abysse onirique.
    Parler de bonheur ? Ce serait mentir. Vivre, simplement.

     

     


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  • Mon premier partenariat, wouhou. Je vous laisse découvrir par vous-même le blog de Nausea, qui sort son premier tome Le Temps de Malheur d'un roman en trois parties intitulé Fatalis.
     

    http://fatalis-legenda.eklablog.com/



     

    « An de Disgrâce Douze-cent quarante-six.
    Se mourant dans la langueur, le comte déchu Hasbrin von Pein est hanté par d'étranges maux et sombre dans la folie. Renié par le Ciel et gardien d'un secret si terrible que nul autre ne saurait le supporter, il décide de tout révéler dans une chronique mystérieuse avant que le trépas l'en empêche... Les racines douloureuses d'un mal inconcevable poussent en lui alors que sa fin approche.


    De sa plume, il retrace les sombres vies de Christof, le parricide, Johannes, le déserteur, et Franz, le malandrin, qui, quatorze années plus tôt, se virent poussés par un souffle divin vers une funeste destinée.
    C'est un âge de ténèbres, fait de démons et de sorcellerie, de guerre et de trahison, de mort, de pleurs et de haine. La fatalité
    .
     »



    Fatalis, donc, roman en trois parties d'un genre totalement inédit que Nausea nomme la fantaisie noire historique. Je n'ai pas encore pu lire le premier tome mais je vous écrirai un petit quelque chose à ce propos quand ce sera fait.


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